Au-delà de l’ironie et de ses indénombrables strates, la prière est la vraie voie de l’art. Tout a déjà été dit à ce sujet : la création n’a de noblesse que sous un jour divin et chaque mot écrit devrait faire signe vers Dieu et l’accueillir. Je ne parle pas ici du Dieu incohérent et niais au nom duquel on hait et tue, mais de celui qui rend possible l’expérience de l’ineffable et qui marque parfois les choses de ce monde du sceau passager d’un sens.
